Des fonds publics à Renault pour investir et développer la filière automobile française…
Depuis le 15 mai dernier, la presse annonce entre autres, le non renouvellement d’une partie de la gamme Renault (Espace, Scénic, Talisman, Mégane et Koléos), la fermeture des usines de Dieppe, Choisy, Fonderie De Bretagne et Flins. Puis la suppression de 4 000 salariés jugés en trop en recherche et développement.
Si les annonces devaient être partiellement ou totalement confirmées, cela montrerait de nouveau le mépris des dirigeants de RENAULT à l’encontre des organisations syndicales et des Institutions Représentatives du Personnel qui, à ce jour, ne disposent toujours d’aucune information sur le sujet. C’est la conception du « dialogue social » dont le patronat et le gouvernement parlent, où le rôle des représentants syndicaux est réduit à l’accompagnement et à la mise en œuvre de ce qu’ils ont décidé…aux seuls profits d’une minorité d’actionnaires. Voir ici la déclaration commune Coordination CGT RENAULT – FTM-CGT.