Après la suppression par Nicolas Sarkozy en 2014 de la demi-part du quotient familial accordée aux veufs et veuves, suivie par le plafonnement des majorations pour enfants, c’est maintenant la pension de réversion qui est visée. Depuis des années, le MEDEF et le patronat français dans son ensemble, avec les différents gouvernements, rêvent de la supprimer.
Chaque jour, nous avons une série d’annonces aussitôt démenties mais qui reviennent à l’approche de la réforme des retraites en 2019. L’UFR CGT Métallurgie est opposée à toute remise en cause des pensions de
réversion aujourd’hui et demain. Bien au contraire, nous demandons que le taux des pensions de réversion soit porté à hauteur de 75% de la pension du conjoint décédé, sans conditions d’âge ni de ressources.
La pension de réversion doit être étendue aux pacsés et aux concubins dans les mêmes conditions. Lisez le tract téléchargeable ci-dessous :