Halte à la répression syndicale, on peut être CGT, avoir un emploi, être reconnu et ne pas craindre les éventuelles menaces ; exemple :

suite aux nombreuses pressions, menaces et interpellations de la CGT, la direction a fini par céder en annulant la procédure de licenciement à l’encontre de notre camarade délégué Pascal. Elle a également formulée publiquement des excuses devant l’ensemble du personnel lors d’une réunion d’information en présence de la CGT. Cette bonne nouvelle permet à Pascal de réintégrer l’entreprise et de percevoir sont salaire suspendu (mise à pied conservatoire). Autres engagements de la direction, gagnés par le syndicat à cette occasion : amélioration des conditions de travail et du dialogue social dans l’entreprise.

Au vu des avancées, le rassemblement de lutte sur ce sujet prévu localement aujourd’hui est pour le moment suspendu.

Cette victoire prouve que pour nos droits et libertés, rien ni personne ne pourra museler la CGT et les salariés. Dans la foulée, de nombreuses adhésions ont été réalisées.