21 février 1944. Peu après 15 heures, les salves résonnent dans les fosses du fort du Mont-Valérien, à l’ouest de Paris. Vingt-deux combattants des FTP-MOI de la région parisienne viennent d’être fusillés par les nazis. À la tête de ce groupe se trouve un communiste arménien, Missak Manouchian.